jeudi 31 mai 2012

Mantra du jour, bonjour !

Où ai-je donc lu ça ? Peut-être dans le Elle avec la toujours très renfrognée Kristen Stewart en couverture (et dont la prestation dans Twilight m’a fait hurler de rire. Grand potentiel comique cette fille).

Naturellement revêche, quel talent !

 L’article portait sur le rangement. Je l’avoue, mon home sweet home est petit et plein comme un œuf. Et comme j’ai :

- un boulot,

- un môme à Duplo,

- des tonnes de fringues,

- des abonnements à des magazines

- et que quatre heures pour moi dans une journée (j’ai retiré mes huit heures au bureau et mes huit heures de sommeil, mon heure en transport en commun et les trois bonnes heures à tenter d’éduquer mon gamin)

parfois (souvent), ça vire au capharnaüm.

Donc l’article a trouvé en moi une lectrice attentive.

J’ai surtout retenu la phrase suivante :

Allez au bout de votre geste (bordel !)

Oui, le « bordel » c’est moi que l’ai rajouté. J’aime bien, ça motive.

En exemple illustré, ça donne ça :

On arrive chez soi éreintée. On retire ses godasses en pensant à ce qu’on va bouffer ce soir et, pour une fois, au lieu de laisser choir lesdites godasses devant la porte d’entrée, on les met aussi sec dans le placard à chaussures. Voire même dans leur boîte cartonnée (ouaip, je garde les miennes).

Bref, il s’agit de finir son geste plutôt que de l’arrêter à mi-course.

Psychorigide, vous dites ? Je suis tentée de répondre « un chouïa » sauf que je vais dignement me taire… actuellement quatre paires de chaussures trônent d’un air narquois dans mon entrée.

Presque pareil qu'à la maison, sauf que les miennes ont la semelle intérieur moins propre.

 Et, ma foi, je suis plutôt contente de mon nouveau mantra. Il incite tout simplement à aller au bout des choses. De transformer un « tiens, faudrait que » qui donne bonne conscience mais ne mène nulle part en action.

mardi 29 mai 2012

Etsy me perdra #3 : le collier plastron

C'est parti de la pub Rexona.

Oui, je peux être inspirée par un anti-transpirant, pas vous ?

L'une des femmes de la pub porte un sublime collier plastron.

Depuis, je suis un peu en mode obsession : il m'en faut un.

Et chez qui je vais quand je veux un bijou original, hmm ? Chez Etsy, bien sûr !

Y'en a 48 pages de "necklace" dit "chevron" (oui je tape toutes mes recherches en anglais, je suis snob). Voilà ma petite sélection qui n'engage que moi :


C'est vif, coloré, sucré... du vrai sucre d'orge !


Celui-ci me rappelle un peu le fameux collier de nouille made-in maternelle :




Le plus proche de l'original (celui de l'anti-transpirant donc) :


 Très jolies boucles d'oreille pour aller avec :


Et pour vraiment laisser s'exprimer la guerrière qui est en vous (surtout dans le métro à l'heure de pointe)  :



Très sympa, je trouve, j'aime beaucoup l'association de couleurs.





Plutôt différent du plastron recherché, mais si délicatement joli que je ne résiste pas à les ajouter à ma sélection :




 Et hop, ici on combine deux tendances fortes : le fluo et l'ethnique :


 Et plus "roots" :



Attention : très belles pièces ! En macramé (mais non c'est pas ringard !), joliment coloré, ça vaut le détour :





Du cuir et de l'or, évidemment j'aime :




Du cuir, du pop/peps aztèque  :


Du ramage, du plumage, du carnaval de Rio !



Et un petit dernier pour finir :


Après le cuir, voici le bois :



Le plus difficile, finalement, c'est toujours de choisir...

jeudi 24 mai 2012

Si j'étais une tire de mes rêves...

Je serais une Dodge Charger de 1969.

Air hargneux.

Ligne sexy.

Musclée comme il faut.

(Soupirs)

Hey sexy!

Oui, c'est un post "j'ai trop de travail pour en fait un vrai".
Y'a pire, non ?

mercredi 23 mai 2012

Zara


Pour le travail, je m’en vais plusieurs fois par an dans cette riante bourgade qu’est Mérignac.

Côté zone aéroportuaire.

Là où s’épanouissent les enseignes prestigieuses comme Leroy Merlin.

Notez, je ne me plains pas, il y a même un centre commercial. Il répond au doux nom de Mérignac Soleil (tordant quand on voit la météo actuelle) et il héberge un Zara tout neuf.

Zara et moi, on n’est pas potes. J’y trouve rien, y’a du monde, la musique d’ambiance est pourrie (oui, je chipote) et quand, par extraordinaire, un truc me botte en vitrine, impossible de mettre la main dessus en boutique (demandez à une vendeuse ? Et puis quoi encore  !). Ah, et il y a aussi cette enquiquinante manie de ne point y trouver certaines tailles (les filles qui n’entrent pas dans du 36 me comprendront).

Bref, c’est en traînant des a priori et en pinçant des lèvres que je suis entrée dans le Zara Mérignacais.

Premier bon point, y’a pas un chat.

Deuxième bon point, les Zara Girls sont sympas, elles disent bonjour (oui, je vais dans les Zara parisiens, pourquoi ?).

Troisième bon point, ce n’est pas un fouillis de vêtements qui agresse le regard : tout est net et bien rangé (légèrement psychorigide sur les bords, moi ? Allons !)

Et, miracle, j’ai même vu quelques jolies choses :

22,95 euros... on paie au poids je crois
Audacieux certes, mais je suis une fervente croyante du "fashion statement"
si cher au magazine Cosmopolitan ricain

22,95 euros aussi

Etole Tie-Dye qui rappelle joliment qu'on est au printemps bordel !
19,95 euros

Je n'ai pas dégainer ma Visa (j'avais déjà fait des folies chez Cultura... oui, oui, les loisirs créatifs !), mais j'ai été diablement tentée.

Un magnifique progrès !

mardi 22 mai 2012

La classe, c’est inné ou acquis ?

Ou pour paraphraser Simone, on naît classe ou on le devient ?

Est-ce une basse question de pépètes ? (Ceci dit, je serai une piètre féministe si j'en voulais à une femme et d'assurer la pitance des ses mômes et de pouvoir s'offrir de belles fringues. On a amplement mérité le droit de se faire plaisir avec l'argent qu'on gagne)

Ou plutôt le résultat d’une vraie connaissance de soi (ce qui nous va vraiment quoi) ?

On peut y arriver toute seule (hum) ou on a besoin d’un œil extérieur voire expert (un bon coiffeur, un bon conseiller en maquillage, un bon gourou en style) ?

Est-ce qu'élégance doit forcément rimer avec trench beige, manteau droit, pantalon noir ? (oui, je sais, ça ne rime pas)

Est-ce qu'on peut s'habiller chez H&M (ou n'importe quelle enseigne bon marché) et réussir l'exploit ? Bref, est-ce juste une question d'attitude ?

Ces questions de la plus haute importance me sont venues à l’esprit en regardant la compagne de notre président tout neuf : Valérie Trierweiler.

Même sa façon de nouer son étole me subjugue.



Manteau Tara Jarmon

Manteau Georges Rech
 Il me tarde de découvrir ses prochaines tenues !

vendredi 18 mai 2012

Etsy me perdra #2 : une envie de guerres et d'étoiles

Star Wars, j'y suis venue sur le tard.

J'avais quatre ans quand le premier, pardon, le quatrième ("Fucking Georges Lucas" comme diraient les fans hardcore dans l'hilarant documentaire "The people vs. Georges Lucas") est sorti.

Mes parents n'étant pas de grands adaptes de la science fiction, j'ai attendu les (nombreuses) rediffusions les jours fériés pour m'y mettre (bénies soient les chaines publiques !).

Cher et Tendre, lui, adore Star Wars depuis toujours. Il a même la trilogie ("la vraie" souligne-t-il doctement) en laserdisc (ne vous moquez pas, Benicio del Toro aussi a gardé les siens...). Son anniversaire étant à la fin du mois (summer children power!), j'ai été sur mon site préféré voir s'il n'y avait pas quelque chose à glaner.

Ben, il y a :


Le gars a une passion pour la pop culture, les bikes et les animaux de compagnie. Décalé, marrant et pointu !

Yoda chevauchant un chat noir

Boba Fett en Vespa

Darth Vader promenant son vaisseau impérial


Des bijoux avec des playmobils, il fallait y penser... d'accord, là c'est plus pour moi que pour mon mec :

De vilains soldats impériaux à sa botte !

Ou carrément ce bon vieux Darth

En collier Yoda, avoir tu peux aussi


Pour un peu de sagesse dans ce monde qui en est un rien dépourvu :


Ou un peu de rock :


Ou encore un mantra pour tête brûlée :




Je vois bien ça dans la chambre de mon héritier (même si en ce moment, il est plutôt Wallace et Gromit...) :




Sur Etsy, le plus dur, c'est souvent de choisir.

Bon vendredi !

jeudi 17 mai 2012

"Voilà quoi."

Etait-ce les brillantes questions qui fusaient comme des pétards lors d'un 14 juillet pluvieux de l'inénarrable équipe du Grand Journal de Canal plus ?

Etait-ce le soleil dans la gueule ?

Etait-ce une mutation du syndrome Van Damme (à force de jouer en anglais, on ne sait plus maîtriser sa langue natale)

Etait-ce un coup de fatigue à la perspective d'enchainer les interviews de promotion ?

Etait-ce parce qu'elle voulait garder ses meilleures réparties à la presse (sérieuse) écrite ?

Etait-elle distraite par les boucles d'oreille horriblement vulgaires d'Ariane Massenet ?

Etait-ce pour s'empêcher de renouer avec ses vieux démons et les déclarations débiles intempestives ?

En tout cas, Marion Cotillard, "voilà quoi" ne constituera jamais au grand jamais une réponse... et ne sert pas non plus à ponctuer une phrase.

Voilà quoi !